Rue Vivegnis
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Février 2024
Une délégation des habitants de la rue Vivegnis s'est rendue à la Petite Voie à Herstal pour examiner ce qu'est une zone résidentielle.
Une délégation des habitants de la rue Vivegnis s'est rendue à la Petite Voie à Herstal pour examiner ce qu'est une zone résidentielle. Sur la photo vous pouvez voir que le stationnement est inscrit au sol.
Les stationnements sont prévus à droite puis à gauche pour obliger les voitures à ralentir.
Un caniveau central remplace les avaloirs à droite et à gauche, cela facilité le travail des machines nettoyeuses.
Les voitures ralentissent de fait. La circulation est limitée à 20 km/h.
Les piétons sont prioritaires.
Les habitants sont contents.
Les habitants de la rue Vivegnis qui se sont rendus sur place feront un rapport à l'ensemble des habitants de la rue Vivegnis qui se réuniront en mars.
Janvier 2024
Zone résidentielle, égouts... les projets et les soucis de la rue Vivegnis.
De nombreux habitants de la rue Vivegnis sont confrontés à des problèmes d'égouts.
La rue Vivegnis subit les conséquences de la présence de galerie de mines et d'un puits d'exhaure.
Cela la rend particulièrement sensible aux pluies abondantes et aux remontées de la nappe phréatique.
Les montées d'eau dans nos caves nécessitent souvent l'installation de pompes.
Les habitations de la rue Vivegnis situées le long de l'impasse Macors sont protégées de ces remontées d'eau depuis l'installation d’un drain le long de cette impasse.
Il n'y a pas de fatalité. Une pétition est en cours de signature pour activer une solution.
D’autre part, une réflexion plus large est entreprise pour transformer une partie de la rue Vivegnis en zone résidentielle.
Ce point fait également partie de la pétition (voir ci-dessous).
En tant qu'habitant de la rue Vivegnis je soutiens le projet de faire passer ma rue en zone résidentielle.
Cela signifie :
- limiter la vitesse à 20 km/h,
-donner la priorité absolue aux piétons,
-annoncer la zone résidentielle par un panneau où l'on voit un enfant jouer au ballon, un vélo et une voiture,
-récolter les eaux de ruissellement dans un caniveau central ce qui favorise le travail de nettoyage.
- placer les parkings voitures par groupe à gauche et puis à droite pour que la route apparaisse moins rectiligne et oblige les véhicules à ralentir et à slalomer.
Tout ce dispositif sert à apaiser le trafic et à favoriser la cohabitation entre les différents types d'usagers de la voie publique (piétons, cyclistes, voitures).
Notre rue nécessite aussi des travaux de rénovation des égouts. Plusieurs ruptures de canalisation ont été repérées par les techniciens de la Ville. La rue Vivegnis subit les conséquences de la présence de galerie de mines et d'un puits d'exhaure. Cela la rend particulièrement sensible aux pluies abondantes et aux remontées de la nappe phréatique. Les montées d'eau dans nos caves nécessitent souvent l'installation de pompes. Seules les habitations de la rue Vivegnis situées le long de l'impasse Macors sont protégées de ces remontées d'eau depuis l'installation d’un drain le long de cette impasse. Il n'y a pas de fatalité.
De plus les évacuations des eaux usées des maisons se trouvent sous le niveau des égouts, ce qui ne peut que favoriser l'humidité que l'on retrouve dans nos caves.
Avec le réchauffement climatique, la fréquence des pluies abondantes est et sera en forte augmentation. Les zones d’Europe qui vont particulièrement subir ces pluies abondantes sont l'Ouest de l'Allemagne, les Pays Bas et la Belgique. Cette évolution des pluies risque d’impacter fortement la rue Vivegnis. Rappelons-nous que lors des inondations de 1926, l’eau est arrivée à 1,6m de hauteur. La trace de cette montée des eaux est encore visible sur le bâtiment situé 73 rue Vivegnis. Cette partie de rue forme probablement une cuvette où l'eau stagne lors des débordements de la Meuse. Nous demandons que cette réfection des égouts de la rue soit inscrite dès maintenant dans le plan de l'intercommunale chargée de ces travaux d'égouttage.
Nous demandons à tous les partis de se prononcer pour effectuer ces travaux lors de la prochaine mandature communale, soit entre 2024 et 2030 et de les combiner avec la mise en zone résidentielle de la rue Vivegnis.
Pour une plus grande convivialité et une sécurité face à la montée des eaux dans notre rue, je signe la pétition à l'arrière de cette feuille.
Editeur responsable Paul Verjans : 291 rue Vivegnis 4000 Liège.
paulverjans53 (arobase) gmail.com
2019 - Projet Vivages
Habitat groupé intergénérationnel
rue Vivegnis 39
4000 Liège
Toutes les infos concernant le projet se trouvent ICI
Des appartements de 1, de 2 et de 3 chambres vont être complètement rénovés.
Un ascenseur est prévu.
Les appartements seront loués.
L'association recherche des jeunes couples avec enfants pour participer au projet...
Les personnes intéressées peuvent s'inscrire sur le site www.multiages.eu
CONCERNANT le suivi du dossier KOTEAUX
Rappelons le projet "hollandais" que nous approuvions (voir ci-dessous)
Rappelons que c’est la Ville de Liège qui est allée au Conseil d’Etat en 2014 (sous la pression des riverains notamment) pour casser une décision du (alors déjà) ministre Philippe Henry
MAI 2012
Le projet KOTEAUX
En ma qualité d'habitant du quartier, je tiens à formuler quelques remarques essentielles à l'encontre du projet sous référence.
Premièrement, ce projet ne s'inscrit pas dans le cadre architectural de l'esplanade Saint Léonard. La rupture totale (forme et couleur du bâtiment) défigure le projet de coulée verte des coteaux vers la Meuse comme le souhaitait les concepteurs et architectes du projet (BAUMANS et BEGUIN) de l'esplanade Saint-Léonard . Le front bâti a une certaine homogénéité de couleur et de gabarit (notamment toit en pente) que le projet ne respecte pas. De plus la hauteur des bâtiments en projet dénature la vue de et vers les coteaux et empêche le lien entre l'espace vert et la ville dans un dégradé progressif.
Deuxièmement, la volonté de construire un bâtiment hors gabarit, en totale rupture architecturale dans le périmètre protégé et historique de la cité est contraire à l'esprit d'une ville respectueuse de son passé et de la vitrine touristique cohérente qu'elle veut montrer. Le modernisme a sa place près de la gare des Guillemins. Notre quartier doit garder et retrouver son cadre historique, tout comme le prévoyait le projet d'aménagement de l'esplanade.
Troisièmement, la mobilité déjà très difficile dans le quartier posera problème. Je ne parle pas de la circulation qui sera intense dans la toute petite voirie Vivegnis, mais du problème de parking. Vouloir bannir la voiture de la Ville est certes un projet auquel je souscris, mais cela ne règle pas le problème des citadins qui ont besoin d'un véhicule pour sortir de la ville, pour aller faire des courses (avez-vous ramené du lait, les sodas, dans votre caddie ?), pour aller travailler (les bus entre les zonings et le centre-ville ne sont pas légion), pour faire le "taxi-mum" les mercredis après-midi et les samedis…. Un véhicule par ménage qui vit à Liège n'est pas incompatible avec une politique de mobilité raisonnable. Or il est impossible de se parquer dans notre quartier une fois passé 7h30, la faute à ces voitures ventouses des travailleurs de la rue Hors Château, qui viennent engorger nos artères. Ajouter ne fusse que 50 voitures, et cela sera invivable.
La mono fonctionnalité du projet est le quatrième argument négatif que je relève. Un quartier vivant l'est par la mixité de sa population. Trois cents étudiants, trois cents bureaux est-ce cela la mixité ?
Cinquièmement, le quartier n'est pas désertique. Il n'est pas nécessaire d'augmenter la densité de population, mais plutôt d'accroitre la diversité sociologique par un habitat de qualité offert à une population demanderesse d'une maison avec un petit espace vert. Amener 300 étudiants au pouvoir d'achat limité, ne fera pas vivre les commerces, d'autant plus que leurs principales activités se dérouleront dans leur chambre, dans les écoles et dans le Carré !
Sixièmement, la société MIMOB demande 5 dérogations majeures pour réaliser son projet. Il est difficilement concevable que celles-ci soit accordées et ce en totale contradiction avec la volonté des habitants du quartier, dans le non-respect des prescrits architecturaux et des ambitions sociologiques portées par le Collège. Le projet qui est, avant tout, un investissement financier et un projet économique se verrait-il favorisé ?
Septièmement, l'environnement sonore de cette demi-campagne que sont les coteaux risque d'être dégradé fortement, puisque la société MIMOB considère elle-même dans sa demande que le site adjacent servira d'espace défouloir aux étudiants. Je doute que la police viendra à minuit demander aux jeunes de respecter les règlements communaux en la matière… Elle ne le fait déjà pas maintenant pour les joueurs nocturnes de djembé et autres pipeaux…
Étant donné les multiples interrogations que pose ce projet et étant donné le risque réel qu’il a de créer des incidences non négligeables sur son environnement, je demande qu’une étude complète et détaillée des incidences environnementales soit réalisée.